La nouvelle ministre albanaise chargée des marchés publics s’appelle Diella et elle n’est pas humaine. Il s’agit d’une intelligence artificielle « nommée » par le premier ministre pour lutter contre la corruption. Une idée intéressante, sur le papier
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Quoi qu’il en soit, il serait absurde de vouer une confiance totale et aveugle à une intelligence artificielle. Pour Chloé Duteil, fondatrice de Stlar, un cabinet de conseil spécialisé dans l’IA pour les entreprises, « une IA n’est fiable à 100 %, pas davantage qu’un humain », assure-t-elle.
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